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Double rêve
16 février 2010

Chapitre 1

Je sais que je me suis couchée tard, mais là j'ai vraiment l'impression de n'avoir dormis que quelques minutes ! pensais je en me frottant les yeux. Je tâtonnais, les yeux encore fermé, à la recherche de mon téléphone pour éteindre mon réveil. Mais quel réveil ? Rien ne sonnait, pourtant je voulais me lever... J'ouvris un œil sur un soleil resplendissant, pour sauter de mon lit. De mon lit ? Je tournais autour de moi, ne reconnaissant pas la pièce dans laquelle je me trouvais, chez moi je dormais dans mon salon sur un canapé futon en attendant que ma chambre à l'étage soit un jour fini. J'avais beau tourner et retourner, je n'étais décidément pas chez moi, mais la personne qui habitait là avait bon goût !

Bon c'est bien gentil tout ça mais moi je commençais à paniquer ! Je cherchais la porte pour me jeter dessus, mais cette dernière était ouverte. Je la poussais tout en passant tout doucement la tête de l'autre côté, on ne sais jamais d'ici la que le méchant se cache derrière pour me faire " BOU ! ". Rien, pas en bruit, pas de méchant, de fantôme et encore moins de choses que je reconnaisse ou dont je me rappelle !

J'avançais timidement dans le couloir serrant, serrant quoi d'ailleurs ! rien du tout je sors d'une chambre que je ne connais pas à la recherche de mon kidnappeur et en plus je sors sans rien dans les mains ! Non mais je te jure ! Je me foutrais des baffes des fois ! J'arrivais dans une grande salle ouverte sur la cuisine. La pièce dont j'avais toujours rêvé ! Cette personne vivait ma vie enfin tout du moins pour la déco ! Mais personne !

Je m'approchais d'un téléphone mural et composais le numéro de ma maison, je ne savais pas quelle heure il était mais les enfants devaient être debout.

" Le numéro que vous avez demandé n'est pas attribué. "

Je recommençais le numéro, j'avais du me tromper dans la précipitation.

" Le numéro que vous... "

Non mais c'est quoi ce bordel ! Je me dépêchais de composer le numéro du travail de mon mari, même si à cette heur ci il dormait après sa nuit de travail je me fichais complètement de le réveiller, il fallait qu'il vienne me chercher !

" Allo ? " Me répondit une voix pas endormis du tout.

" Jérôme ? " Demandais je.

" Oui ? C'est qui ? "

" C'est moi arrête de faire l'idiot ! "

"Moi qui ? " Demandat-il le plus sérieusement du monde.

" T'es vraiment trop con ! Arrête de suite ! Les enfants sont seul à la … "

" Vous devez vous tromper de Jérôme Madame. " Me répondit-il.

" Allez arrête te jure je flippe, je me suis réveillée dans un appart, que je ne connais pas, les enfants sont tous seul à la maison, alors arrête de jouer ! " Je m'étais mise à hurler dans le combiné du téléphone.

Bip bip bip....

Mais quel con ! j'allais recommencer le numéro quand je me vis dans la porte rouge bordeaux brillante, surement nettoyer par une super femme de ménage. C'était moi mais ce n'était pas moi... Bizarre je sais, mais comment vous expliquer ? C'était bien moi, mais je n'étais pas grosse, j'avais une super coupe de cheveux et pas une ride ! Je posais une main sur mon sein, celui ci était rond et ferme, ma main descendit jusque mon ventre qui était plat et musclé ! Et je portais une nuisette en soie ! Mais où était passé mes rondeurs et mes chemises en coton achetées soit disant pour l'hôpital après l'accouchement et qui au final avaient tapées l'incruste dans mon armoire !

Je me mis à courir pour retourner dans la chambre, je ne m'étais pas arrêter sur mon reflet dans la chambre, j'étais tellement dans les vapes! Je me figeais devant mon reflet, c'était moi je me pinçais la cuisse, ce qui me fit un mal de chien et m'avertit que non je ne rêvais pas! Mes jambes cédèrent et je me retrouvais assises devant cet immense miroir me renvoyant mon air perdu. Je tendis la main pour faire coulisser le miroir et découvrir un immense dressing, ce qui me remis illico sur mes pieds!

Je rentrais à l'intérieur pour découvrir des pantalons de tailleur, des jupes moulante qui devait m'arriver au niveau des genoux fendu sur le coté, des robe dos nu, des jeans superbe, des chaussure, des chemisier en soie, des haut, des pull... Un dressing de rêve, mon rêve...

" T'es déjà debout ? "

Je sursautais en entendant cette voix, une voix que je n'avais pas entendu depuis plus de huit ans. Je me retournais lentement, pour voir mon ange blond debout devant moi.

" Je t'ai fait peur ? " Me demandat-il en rigolant. " Ro excuse moi je voulais pas. " Continua t-il en s'approchant doucement.

Je ne pouvais décrocher mes yeux de son regard, un bleu que je ne pensais plus jamais revoir, un bleu dans lequel je m'étais si souvent perdue. Il se pencha pour me donner un baiser , mais à peine avait-il poser ses lèvres sur les miennes que mes bras se refermèrent sur sa nuque et que je me collais à son corps viril. Un corps dur tout en muscle, un corps chaud et plein de vie... Et quelle vie! Je sentais son sexe durcir contre le miens et c'est avec joie que je me mis à me frotter contre lui. Ses mains vinrent se glisser sous ma nuisette pour me caresser. Je ne portais pas de culotte, déjà que la journée en porter m'agaçais au plus haut point je n'allais pas m'encombrer avec ça la nuit ! Ses doigts caressaient mon clitoris lentement, faisant de petit tour jusqu'à se que mon corps se cambre un peu plus contre lui. Puis son doigt s'introduit en moi, brusque, sauvage, avide... Je lâchais sa nuque d'une main de peur de le voir disparaitre en fumé, pour m'acharner sur sa ceinture. Je dois dire que je n'ai jamais été douée pour enlever les fringues des autres, je les préférais nus qu'habillés. Il cessa de me caresser les fesses, gardant son doigt aller et venir en moi, pour défaire lui même sa ceinture, ses boutons et faire glisser son jeans sur ses jambes. Son sexe dur se dressait devant moi, glorieux et délicieusement sur proportionné! Ses caresses me firent atteindre le septième ciel en quelque seconde, je ne tenais plus sur mes jambes, aussi me laissais-je tomber sur la moquette du dressing, l'entrainant avec moi. Je me retrouvais jambes écarté tenant dans mes mains ce sexe que je n'avais jamais oubliée. Je n'en pouvais plus il fallait que je le sente en moi, il fallait qu'il me prenne, qu'il me baise, qu'il me chevauche...

Il sortit ses doigts de mon sexe, pour me caresser le ventre, les seins, les lèvres et finalement fini par faire glisser ce doigt dans ma bouche. Je me mis à le sucer goulument pendant que dans un coup de reins rageur,il me pénétrait me faisant crier d'extase avant même que tout ai commencé. Puis il se mis à bouger, lentement pour s'enfoncer un peu plus loin à chaque fois. Son sexe m'emplissait, ses mains me pétrissaient les seins, ses dent me mordillaient la lèvres... Je ne pouvais plus me retenir, je plantais les mains dans la moquette et me mis à hurler !

" Oui ! Oui ! Oh mon Dieu ! S'il te plait, Oui Oui ! "

Il commença à aller un peu plus violemment, sa main pris mes cheveux dans une poigne de fer pour me faire basculer la tête en arrière et pouvoir me mordiller la gorge. Je hurlais de plaisir dans un dernier sursaut avant de le sentir jouir en moi. Il s'affala dans un râle en me parcourant le cou de mille petit baisers.

" Tu es de bonne humeur ce matin bébé ! " Me dit-il en me lançant un sourire qui fit chavirer mon cœur.

" Tu m'a manqué, comme tu m'a manqué... " Murmurais-je en caressant ses cheveux et en parcourant chaque trait de son visage.

Lentement il se leva, en rajustant son pantalon.

" Je partirais tôt au travail plus souvent alors ! Allez viens dans la cuisine je t'ai ramené des chocolatine ! "

Je me relevais avec difficulté les jambes encore tremblante pour le regarder partir vers la cuisine. Je me mis en quête de vêtements et fonçais dans la salle bain que j'avais aperçu en courant dans le couloir.

" Je prends une douche rapide et j'arrive ! " Criais-je avant de fermer la porte de la salle de bain.

Je pris une douche rapide, pressée d'aller rejoindre Elouan. Je séchais rapidement mes cheveux dans une serviette enfilais une petite robe en lin rouge et partis en direction de l'odeur du chocolat. Je le retrouvais tourné vers la cuisine en train de se préparer un expresso. Je m'assis sur la table du salon , une table immense en chêne, une table dont j'avais toujours rêvé ! On pouvais facilement tenir à plus d'une vingtaine ! Et sans se serrer les coudes !

Je pris une chocolatine pour mordre dedans sans cesser de regarder Elouan, son cul ferme, ses cuisses, son...

" Arrête de me fixer comme ça ou je te viole sur le champ petite dévergondée ! "

" Grande gueule va !" Lui répondis-je en riant.

Il se retourna lentement un grand sourire aux lèvres.

" Tu es joueuse... " Me dit-il en s'approchant de moi.

" Toujours prête à jouée. " Ronronnais-je.

Il s'approcha de moi lentement, se mit à genoux devant moi, releva ma robe et glissa un doigt le long de ma fente.

" Toujours envie de jouer ? " Demandat-il en changeant de position et en replaçant son sexe déjà dur à l'étroit dans son jeans.

" Oui toujours. " Dis-je d'une voix un peu plus aigu.

Il se pencha entre mes jambes et d'une langue experte commença à laper mon clitoris, pendant que ses doigts commençaient à entrer en moi. Je me laissais aller en arrière sur la table, m'abandonnant à toutes ses sensations qu'il faisait naitre en moi. Il mis ses mains sous mes fesses, et tira un peu pour me faire avancer vers lui. Sa langue remplaçât ses doigt, et il se mit à aller et venir pendant que son pouce tournait, tentateur autour de mon clitoris. Je me m'enivrais de plaisir ne pensant à rien d'autre. Je sentais mon plaisir monter quand tout à coup sa langue se retira.

" Retourne toi. " Me demandat-il.

Je me mis sur le ventre, touchant le sol de la pointe des pied. Je sentais son sexe dur se presser contre mes fesses pendant que sa main continuait à me caresser.

" Tu me veux ? " Me demandat-il. " Tu veux que je te prennes ? Tu veux que je te fasse jouir ? " Continua t-il tout en s'introduisant lentement en moi.

" Oui ! " Fut la seule chose que je trouvais à répondre alors qu'il commençait à aller en moi.

Il me prit rapidement, brutalement, jusqu'à me faire hurler son prénom. Puis sa main me caressa le dos lentement, alors que son va et vient se calmait. Nous avons joui en même temps et je suis restée là, a moitié allongée sur la table à reprendre mon souffle pendant qu'il se retirait.

" Je file à la douche cochonne ! " Me dit-il en me mettant une claque sur les fesses.

Il s'éloigna, me laissant pantelante encore à demi allongée sur la table. Je me redressais sur un coude et croquais dans ma chocolatine, rêveuse. Je me redressais pour boire le bol de chocolat chaud qu'Elouan m'avait préparé, tout en réfléchissant à ce début de journée. Où se trouvait le rêve, où se trouvait la réalité? Une chose était sûre, je ne voulais pas me réveiller.

" Tu peux retourner à la douche bébé. " Me dit-il en déposant un doux baiser dans ma nuque.

" On a ... on a quelque chose de prévu aujourd'hui ? " Lui demandais-je l'air de rien.

Il me regarda d'un air étonné, avant de me dire.

" On a la finalisation du contrat ! Ca fait des jours que tu le file, tu va pas me dire que tu as oubliée... Je pensais que c'était ça qui t'avais tellement excitée ce matin. "

" Oui je file à la douche ! Je suis un peu à l'ouest ce matin excuse ! Tu me briffe pendant ma douche ? "

Il me suivit, l'air étonné avant de continuer.

" Ben Raffeli, petit mafieux de trente sept ans qui à essayé de doubler le big boss. Tu a prévu de l'éliminer en fin de matinée. Je t'ai louée une chambre d'hôtel en face de la salle de muscu où il se rend tout les matins. "

Heureusement que je lui tournais le dos sinon il aurait su que j'étais beaucoup plus qu'a l'ouest ! J'allais tué un mafieux ? Mais c'est quoi ce rêve ? Rêver de Vampire, Lycanthrope, Démons ou Sorcière m'aurais semblé normal mais tueur à gage ! ?

Je filais sous la douche toujours muette, l'esprit encombré de question.

" Je t'amène tes fringue et y va ! " Me dit Elouan en partant vers la chambre.

La preuve que j'étais en plein rêve car dans mes souvenirs il n'avait jamais été aussi gentil ! Je finis vite fait ma seconde toilette de la matinée, en me disant que si j'allais vraiment assassiné quelqu'un je finirais par passer le reste de ma journée sous ce jet !

Elouan avait déposé une pile de vêtement sur une chaise : un pantalon stretch noir, un débardeur noir et une veste à capuche noire. Pas de couleur, de logo ou de dessin, un vrai passe partout ! Je m'attachais les cheveux en queue de cheval et mis sur ma tête une paire de grosse lunette que n'aurais pas dédaignée Paris Hilton !

" Mais tu fais quoi ! s'énerva Elouan. Détache moi tes cheveux ! "

" Tu peux le dire sans crier, ça marche aussi ! " Râlais-je tout en m'exécutant.

" Si tu allais voir un dermato pour te faire enlever se tatouage dans le cou se serait beaucoup plus simple ! "

Je n'avais pas vu mes anciens tatous sur les épaules, mais je n'avais pas pensée à vérifier les autres. Les épaules dataient d'après notre séparation, donc peut-être n'étais-je jamais parti ?

" Tu es prête ? "

" Heu oui ! Tout le matos est dans la voiture ? " Demandais-je en me donnant l'air professionnelle, comme dans certain film. J'étais à deux doigt de prendre un accent à la Tonie Montana et à sortir " J'ai des mains faites pour l'or et elles sont dans la merde ! " Mais je me suis retenu.

" Oui. Vraiment tu es bizarre aujourd'hui Maïa ! Tu es sure de vouloir faire ça aujourd'hui ? "

" Tu seras avec moi ? " Demandais-je quelque peu inquiète.

" Suis moi. " Me dit-il en souriant.

Je le suivis hors de l'appartement jusque dans une parking souterrain, pour finalement s'arrêter devant une belle berline Mercedes noire aux vitres teintées. Je m'assis côté passager et mis mes énormes lunettes, pour lui cacher mon air inquiet. Je ne bougeais pas, je me fis même penser à une statue à un moment ! Puis la main d'Elouan vint se poser doucement sur ma cuisse, me relaxant immédiatement.

" Ca fait quatre ans qu'on fait ça aujourd'hui et tu es toujours aussi stressée. Allez respire un bon coup on est arrivée ! "

Je regardais le paysage défiler pour finalement s'arrêter devant un grand hôtel où un groom vint m'ouvrir la porte. Je sortis lentement, ne prononçant pas un mot. Elouan tendit les clés au groom, puis me pris la main avant de pénétrer dans le hall de l'hôtel. Il me laissa seule devant un grand ascenseur, allant chercher un pass électronique avant de venir me rejoindre tout sourire.

" La clé du Paradis ! " Dit-il en me montrant la clé d'un air goguenard.

" Arrête donc de faire ton mariole, frimeur ! "

J'appuyais sur le bouton pour appeler l'ascenseur quand le groom revint avec les clés de la voiture et une énorme valise Gucci. Elouan récupéra le tout avec un hochement de tête en glissant discrètement un billet dans la main du vieil homme.

" Quel étage ? " Demandais-je une fois les portes refermés.

" Quatrième. "

Nous sommes montés jusqu'au quatrième étage puis avons pénétré dans la chambre sans un mots. Je commençais à paniquer, rêve ou pas rêve j'allais buter quelqu'un ! Quelle horreur! Je restais plantée devant la fenêtre à chercher où pouvait bien se situer la salle de sport d'où devait sortir ma victime, quand mon regard s'arrêta de lui même sur une grande enceigne clignotante rose et bleu, mais si loin que je ne pouvais pas lire ce qu'il y avait marqué.

Puis Elouan s'approcha de moi, me tendit une photo d'un assez bel homme aux cheveux gominé, au nez de boxer et à la mâchoire proéminente: on peux dire qu'il avait le physique de l'emploi ! Un vrai mafieux comme dans les films. Je m'étais tellement concentré sur le portrait que je m'étonnais de voir un fusil avec lunette de précision installé sur ses trépieds devant la fenêtre. Je m'allongeais devant ce dernier, prenant instinctivement une position confortable pour le tir, une jambe droite, l'autre replié, un vrai petit soldat ! Je mis mon œil devant la lunette à la recherche de l'enceigne vu un peu plus tôt, et bingo " Musclor " commença a clignoter devant mes yeux.

" Dans combien de temps sort il ? " Demandais-je d'une voix froide que je ne reconnus pas.

" Dix minutes. "

Je sursautais en entendant sa voix si prés de mon oreille, je me retournais légèrement pour le retrouver au dessus de moi en position de pompe. Je me remis à regarder à travers la lunettes, essayant de me concentrer, lorsque je sentis les mains d'Elouan courir sur mes fesses. J'écartais un peu plus mes jambes pour prendre un appuie meilleur quand je sentis son sexe gonflé se frotter contre moi. Ses mains commencèrent à se glisser sur mon ventre à la recherche du bouton de mon pantalon. Il ne cafouillat pas autant que moi et en moins de trente seconde je me retrouvais avec le pantalon sous les fesses et des mains experte me caressant à m'en faire perdre la raison...

Puis tout à coup je ne le sentis plus derrière moi et je pus me reconcentrée sur la porte d'entrée de la salle, mais ce n'était que reculé pour mieux sauter car sa langue se retrouvait déjà à la place de ses doigts. C'était très excitant, une arme chargée en homme entre les cuisses et mes yeux dans le viseur. Puis tout se passa comme au ralentis, des spasmes de plaisir montaient en vagues aux creux de mon ventre, et Ben le méchant mafieux sortit de la salle. Je pris le temps d'ajuster mon tir, retenant ma respiration pour ne pas gémir où crier, et appuyais sur la détente. Je n'eus que le temps de le voir tomber à la renverse, le mur derrière lui couvert de sang et de bout de cervelle, qu'Elouan m'enlevait déjà mon pantalon, ou plutôt m'arrachais mon pantalon avant de plonger en moi. Je lachais la crosse du fusil pour me redressais mais d'une poigne ferme il me maintint au sol me labourant sauvagement comme pour me punir de cet assassinat. Je prie mon pied en hurlant de plaisir et en pleurant sur ce que je venais de faire.

Il me prit dans ses bras avec douceur pour me porter dans la salle de bain. Là il me déshabilla, fit couler la douche et s'assit en tailleur sous cette dernière en m'asseyant sur ses genoux et en me collant contre lui. Puis il m'emmena dans ce grand lit, se coucha derrière moi et me berça jusqu'à ce que je m'endorme.

Pour me réveiller immédiatement dans mon petit salon, avec une petite fille assise sur mon ventre me disant " Maman pipi ! " Cette petite fille, c'était ma fille ! Avec un soupir de soulagement je me levais pour l'emmener au toilette.

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